Dans l’une de ses livraisons qui ont suivi son enquête sur les détournements à la BEAC, l’hebdomadaire Jeune Afrique se plaignait d’avoir été accusé de tropisme pour avoir dit que la BEAC est une affaire de gabonais. A la BEAC, le grief fait à l’article de ce journal sérieux n’était pas celui là, mais le fait d’avoir affirmé sans réserve que l’ancien gouverneur Mamalepot « n’a en rien profité des détournements » et que Gata Ngoulou, Secrétaire Général d’alors, « est un homme à la fois intelligent et honnête ».
On se demandait ce que François Soudan a de particulier avec eux pour les blanchir de la sorte alors que les enquêtes ne sont qu’à leur début. L’enquête aurait pu interroger par exemple le personnel de la BEAC pour obtenir des renseignements supplémentaires, quite à les recouper déjà plusieurs sources. Cliquez ICI pour lire la suite.
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